Quand l’analphabète, Baydi Aribot Soumah s’affole

Intellectuellement limité donc pas à mesure de tenir un débat contradictoire, Boubacar Baidy Soumah, parceque Aribot, c’est le nom du médecin Portugais qui a accouché son arrière grand-mère, la benjamine de Nyarabeli, la reine de Farenhya, s’est trouvé des chargés de mission, des portevoix et porte-plumes que sont les petits pigistes du petit site de Rivières du Sud qui se cherche une place au soleil…

Alors Baidy Aribot, qui met la main à la poche, leur donne comme du coton cadré des infos pour me calomnier dans le seul but de me faire taire en abandonnant mes investigations sur ses détournements de l’argent public destiné à la rénovation des stades de Kamsar et de N’Zérékoré. Peine perdue. Car, je ne cèderais au chantage. Au contraire, je suis galvanisé à sortir de terre des dossiers enfouis dans lesquels Baidy Aribot est trempé comme ceux de la transition.

Comme le dit l’adage, le coup de patte du chien ne peut pas effrayer le lion. Donc, moi je suis un lion de la presse guinéenne qui ne cédera pas aux mensonges de pigistes qui ne sont même pas connus sur un rayon d’un mètre carré et salissant les feuilles d’encre de vomissures pour des plates-bandes d’un homme.

Baidy Aribot au harem monarchique, dont la souillure morale sociale et politique est expressive de sa déchéance par les Guinéens patriotes.

Je ne sais pas en quoi demander des comptes à un gestionnaire peut-il être une tribune d’infamie et de menace de mort qui plus est au cimetière du journaliste. Décidément, Baidy Aribot est affolé. Lui qui aime les effusions spectaculaires ne souffre pas de se voir dénoncé pour sa mauvaise gestion.

Mes amitiés sont fidèles et inconditionnelles dans ce pays. Dieu merci, que mes compatriotes, dans leur écrasante majorité, me font confiance. Cela me suffit pour en tirer une fierté largement partagée.

Je suis peul et je l’assume fièrement tout en respectant la différence dont le terreau constitue le ferment du meilleur vivre ensemble en Guinée. M’en vouloir au point de me détester pour cette affirmation de mon identité, c’est de me pousser à faire le colorant ou le cireur de bottes de tous ceux qui comme votre mentor Baidy Aribot pensent qu’être Peul, c’est être de seconde zone. Non! Je ne suis pas et ne sera jamais ce Peul. N’en déplaise à votre financier vous journaleux.

Justement où étiez-vous quand d’autres, au nom de l’amitié et pas pour un centime, se rendaient à Boffa pour faire le portrait de Baidy Aribot en faire un spécial de son journal pendant les élections législatives ?

Où étiez-vous quand le RPG est venu racheter tout le journal et que le journaliste directeur de publication du journal est allé imprimer 300 autres numéros et les offrir gratuitement à votre mentor ?

Où étiez-vous lorsque tous les matins, à 7h, le même journaliste, toujours au nom de l’amitié et contre rien, arrivait chez Baidy Aribot pour définir la stratégie de campagne ?

Alors Baidy Aribot, posez-vous la question c’est qui l’ingrat ?

Le déménagement saisonnier et conditionné ne fait pas partie de mes valeurs. Et vous et votre mentor et fournisseur d’allégations mensongères, vous devez refaire école pour apprendre qu’il est impensable qu’un locataire, fut-il fonctionnaire, payé son loyer, ce que je fais depuis 1986. Wassalam. Ma suite à votre prochain ma besace est pleine et ma plume alerte.

Amadou Diouldé Diallo

Journaliste et historien