Chers guinéens,
Je suis Karamba Diallo alias Diallo Boston, Producteur indépendant, Technicien et défenseur des droits de l’homme…

Après avoir contribuer à l’édification des artistes guinéens pour des années durant; permettez-moi d’extérioriser mes idées sans demander aucunement un acte de reconnaissance pour ce travail que je fais en tant que guinéen patriote, artiste et home politique soucieux de l’avenir de notre chère Guinée !

Après un constat débarrassé de démagogie et de partenariat politique. Pour dévoiler les vérités cachées derrière des montagnes de mensonges et de vengeance impuissante devant une tyrannie de forces masquées sur un peuple innocent, désorienté dans son chemin de gloire.

Je pense, Il n’est de surprise pour personne de rappeler que notre pays la guinée, était très sociable. Quand on se rappel de sanakouyagal entre les Diakankés, Forestiers et les Foulani, qui se réclamaient des cousins. Les Malinkés et Peuls des vraies sanakou !

Aujourd’hui par la faute des politiciens ces ethnies ne se parlent pas, ne s’entraident pas et n’ont pas l’amour les uns des autres. Le pays est dilapidé se désertant de ses bras valides, des richesses du sol et du sous-sol. Au profit des pays voisins et occidentaux.

Peuple de Guinée debout !

Chaque chose à sa fin !

Aujourd’hui tout guinéen, surtout patriote, est préoccupé par la position politique du pays. Il faut rappeler que notre pays, de par son historique dans les indépendances africaines, de par sa position géographique et par sa culture, devrait être l’exemple en Afrique.

A cause de sa richesse du sol et du sous-sol ainsi que par sa flore et faune devrait faire profiter la sous régions West africaine, en particulier et l’Afrique, en général. Inversement, on vie dans ce pays avec trois classes socio-politiques :

1)-Un pouvoir incapable, fort de par sa richesse, son armée mal orientée et qui tient à conserver le pouvoir au prix de n’importe quel attente ou résultat. Soutenu par une communauté internationale qui tire profit de la division sans merci.

2)-Une opposition formée de cadres et forte de par son intellectualisme, ses expériences et suivit par son peuple qui la porte confiance. Mais, dépourvue de moyens et en manque de stratégie efficace.

3)-Un peuple malheureux, détruit par des querelles internes crée par le pouvoir et entretenu par l’opposition. Un enseignement bafoue qui génère des cadres diplômés sans emploi donc sans expériences.

Vivant dans le château d’eau de l’Afrique occidentale sans eau à boire. Avec possibilité de barrage hydroélectrique sans courant stable. En manque de routes, des libertés et droits de l’homme les plus élémentaires bafoués.

Pour un environnement touristique qui se déserte du jour au lendemain. Les bras valides fuyant son pays d’origine pour aller éclairer l’économie des pays voisins.

Combien de guinéens ont construit aujourd’hui au Sénégal ?  

Un tel pays soutiendra-t-il la stabilité de la guinée ?

Encore moins la France égoïste qui a besoin de nos bras valides ?
En plus de sa défaite dans la gestion politique et économique de ses colonies ?

Je pense, devant de telles situations il y a de quoi se préoccuper. Je demande aux guinéens de tout bord de m’aider à murir ces idées et orienter ces initiatives pour que le peuple de guinée puisse en tirer profit.
Le peuple de guinée est devant un choix difficile. Etant meurtri, affamé, tué et violenté par le pouvoir qui devait le sécuriser. Soutenant ainsi une opposition championne en larme et condoléances.

Laquelle utilise les images des catastrophes comme marchandise qu’il faut vendre à la communauté internationale qui, à son tour les utilisent pour arme d’obliger le pouvoir des corruptions au prix de nos richesses que le gouvernement donne à ces étrangers.

Alors que ces richesses auraient échappées d’être dilapidées. Pour servir à travailler un secteur donné du pays. Au cas où le pouvoir ne sentait pas la peur créée par l’opposition pour se défendre.

L’opposition jouant ainsi des politiques politiciennes internes, supérieurs à celles engagées contre le pouvoir en place, la rende vulnérable et en manque d’efficacité réelle.

On dit souvent pour aimer quelqu’un il faut l’aider à combattre ses défaut et améliorer ses qualités. Je pense, en ignorant la franchise, dans son discours, du président Alpha Condé pour dire, « je n’ai pas eu la chance de connaitre les cadres (intellectuels) guinéens… ». C’était le moment de lui venir en aide au lieu d’utiliser cette sincérité pour occulter la vérité.

Aimer son pays c’est aider à la sauvegarde de la vérité. Un pays fort est basé sur une justice forte. Une justice forte est celle qui cherche la vérité pour l’attribuer à qui de droit sans distinctions de sexe, race, richesse ou de religion. Les Etats-Unis, d’après mes propres expériences, en est un exemple de pays fort.

Je pense, Le gouvernement d’Alpha condé, malgré sa défaite dans la gestion du pays, a pu réaliser des acquis qu’il faut le lui reconnaitre. Tels que : Nous savons dans tous les pays du monde, la police est une source de dépense à la seule différence, la guinée aujourd’hui.

D’après mes recherches, grâce aux efforts de certains cadres de la police guinéenne, qu’il faut remercier, on est parvenu à la biométrie de nos passeports. Ces entrées colossales d’argent ont permis de supporter à payer nos fonctionnaires durant un temps record. Ce qui fait que les détournements liés à ces pratiques ont été supprimées au profit des caisses de l’état. Pour ne donner que cet exemple frappant.

En cette phase sensible de la politique guinéenne, le manque de volonté du gouvernement pour organiser des élections libres et transparentes et perdre le pouvoir ; ainsi que la persistance de l’opposition pour la donne fond que, la révision des listes électorales, le vote, la sécurisation des votes, l’acheminement et la centralisation ne servent en rien. Si l’administration du system informatique n’est pas sécure et fiable. C’est une perte de temps, d’énergie, de moyens matériels et de vies humaines.

Je pense, Le peuple de guinée peut imposer son refus d’aller à ces élections crispées. À défaut, trouver un moyen d’imposer au gouvernement de travailler avec l’opposition guinéenne pour un gouvernement de consensus car, le gouvernement et l’opposition doivent tous faire un pas en arrière pour faire gagner notre pays les fruits de désistements à cause de la patrie.

Chers Guinéens, c’est le peuple qui gouverne. Je pense qu’il est temps d’imposer une feuille de route au gouvernement et aux opposants pour ne plus sacrifier nos fils. Dans un combat dont la victoire ne sera que notre défaite.

En sacrifiant les futures générations et celle du pays pour des années. De là est née l’esprit de la nouvelle génération guinéenne. D’où Ensembles nous pouvons arrêter ceux qui utilisent l’avenir du pays à des fins personnelles. Si vous partagez cet avis, veillez adhérer au groupe « Ensemble nous Pouvons ! » à ma page Facebook ainsi, on s’engage tous à trouver un consensus d’une volonté populaire et de le faire respecter aux dirigeants et aux hommes politiques qui ont finis de ruiner notre pays.

Je vous remercie !

Diallo Boston