« Tout porte à croire que les esprits des officiers Malinkés sacrifiés continuent de hanter Damaro le terrible, de telle sorte qu’il ne voit même pas le danger mortel et imminent qui est sur le point de s’abattre sur lui, pour le faire gouter l’enfer subi par ses victimes sacrifiées ».
Dans un article de la cellule
de communication de l’UFR du 23 novembre 2014, il était mentionné ce qui suit :
« A entendre Damaro parler, c’est le diable qui cite le Coran. Les manies de
l’homme au sein du RPG arc-en-ciel nous amènent à rappeler ici, le rôle qu’il a
joué dans les évènements malheureux de 1984 et c’est le lieu de s’interroger
sur le comment il s’en est sorti, en sacrifiant de nombreux officiers
supérieurs Malinkés.
Comme il est de coutume dans la culture Rpgiste, quand on veut avoir des
positions, se maintenir ou avoir du galon, des grâces et faveurs d’Alpha Condé,
il faut s’en prendre à Sidya Touré. Ceci est tellement évident aujourd’hui, que
tout minable s’en sert dès qu’il se sent coincé. Un des proches de la
Présidence disait dans une confidence : « Alpha veut savoir tous les matins, si
les ondes ont été investies pour insulter Sidya Touré ». Et c’est l’honorable
Baidy Aribot qui a trouvé le mot juste : « Alpha Condé a une peur bleue de
Sidya Touré ». L’histoire politique nous enseigne que tout chef redoute son
successeur, jusqu’à le haïr avec la dernière énergie. Le consensus autour de
Sidya Touré, Président de l’UFR, présenté comme la seule alternative crédible
en 2015 ne laisse pas ses adversaires dormir tranquillement sur leurs oreillers…
».
C’est aujourd’hui que la véracité de ce passage est plus poignante. L’exemple vient de deux membres de la mouvance présidentielle qui vivaient péniblement aux États-Unis à savoir, monsieur Amadou Damaro Camara ancien laveur de voiture à Atlanta, actuel président du groupe parlementaire RPG-ARC-EN CIEL et Sanoussy Bantama Sow ancien taximan et actuel ministre des sports et de la culture.
Le déshonorable Amadou Damaro Camara est connu pour son affairisme, sa cruauté, son opportunisme et son égoïsme qui l’avait conduit à endeuiller la communauté Malinké contre argent et maison aux Etats-Unis. Il est aujourd’hui très décrié par la majorité des membres du RPG qui voient ce rallié de la vingt-cinquième heure s’enrichir de façon insolente sur le résultat de leurs efforts et sacrifices consentis dans leur lutte politique. Ses enfants s’enrichissent alors que les enfants orphelins de ses victimes croupissent parfois dans la misère. Pour détourner l’attention sur son enrichissement frauduleux et chercher à plaire à Alpha Condé, il s’en prend régulièrement au président de l’UFR pour apaiser la jalousie mortelle du président guinéen. Cependant, le cruel Damaro Camara ne dit aucun mot sur la principale cause de la misère des Guinéens, à savoir, leur mainmise sur les ressources du pays. Le fils de Damaro qui roule dans des gros 4X4 américains en Guinée, gère actuellement près de 100 camions dans les mines de Boké au compte de son père, en totale violation de la constitution guinéenne. Cette fraude à la constitution sur fond de pillages des ressources publiques lui rapporterait des dizaines de millions de dollars par an. Damaro est trop bavard, il a sa langue pendue sur tous les débats, mais, il n’a jamais parlé du pillage dont il se rend coupable à l’assemblée nationale et dans les mines de Boké. Afin de préserver ses colossaux intérêts occultes, il fait partie de ceux qui poussent Alpha Condé à imposer son pouvoir à vie aux Guinéens, même au prix d’un bain de sang. Cependant, tout porte à croire que les esprits des officiers Malinkés sacrifiés continuent de hanter Damaro le terrible, de telle sorte qu’il ne voit même pas le danger mortel et imminent qui est sur le point de s’abattre sur lui, pour le faire gouter l’enfer subi par ses victimes sacrifiées. Il y a des péchés qui se payent bien avant l’au-delà et Damaro Camara risque de payer très cher tout ce qu’il est entrain de faire endurer au peuple martyr de Guinée.
C’est la même technique qui est utilisée par Sanoussy Bantama Sow un taximan inculte nommé ministre de la culture et des sports par un autre inculte (Alpha Condé) dont toute la vie est faite de mensonge. Alpha Condé a menti sur son diplôme, sur le village natal de son père, sur l’ethnie de sa mère et même sa nationalité guinéenne semble frauduleuse. Le ministre de la culture Bantama SOW, traité publiquement d’inculte par Alpha Condé, est aujourd’hui décrié jusqu’au sein du RPG pour son pillage à grande échelle lors de la dernière coupe d’Afrique, en complicité avec la société de l’une de ses femmes. Pour se sortir de cette forfaiture, la solution est toute trouvée. Il suffit de s’en prendre à Sidya Touré, l’homme dont la compétence et la notoriété provoquent une jalousie maladive chez Alpha Condé qui est connu pour être extrêmement jaloux et allergique aux hommes et femmes compétents. C’est pour les mêmes raisons que notre président professeur s’en prenait à l’une des icones de la Guinée, l’historien Ibrahima Baba Kaké dont le seul crime aux yeux d’Alpha Condé était d’être brillant.
Depuis le refus de Sidya Touré de servir de couverture pour le troisième mandant d’Alpha Condé contre le poste de vice-président prévu par la future constitution, tout est fait pour le salir. Cette volonté de calomnie s’est accentuée depuis la révélation faite par le président de l’UFR sur la CENI clandestine mise en place par Alpha Condé à la villa N°33. Actuellement, certains communicants du RPG toucheraient 10 millions de francs guinéens par mois avec pour seule mission de dénigrer monsieur Sidya Touré. C’est une mission impossible car il avait été vu à l’œuvre par les Guinéens avec une performance encore inégalée.
Damaro Camara et Bantama Sow doivent comprendre que, si attaquer Sidya Touré peut les mettre à l’abri de la colère d’Alpha Condé, il ne les mettra jamais à l’abri de la constitution guinéenne qui rend le pillage de deniers publics imprescriptible. Même s’ils arrivent, par miracle, à échapper au lynchage populaire redouté, les conventions internationales contre la corruption les ramèneront jusqu’en Guinée pour faire face à la justice.
Pour rappeler à Damaro Camara ancien laveur de voiture, que c’est seulement dans un pays comme la Guinée que son chemin peut croiser celui de Sidya Touré, l’article de la cellule de communication de l’UFR du 23 novembre 2014 lui avait fait une piqûre de rappel en ces termes :
« La gestion de Sidya Touré : il est venu, il a prouvé, il est parti !
Chercher à remettre en cause la gestion, le travail, les compétences de Sidya en Guinée comme ailleurs, c’est vraiment comme tenter de cacher le soleil avec la paume de sa main. De 1958 à nos jours, la Guinée n’en a pas connu de meilleures gestions économiques en son temps. Les indicateurs économiques, le taux de croissance (5%), le taux d’inflation (2%), la réserve de change (6 mois), le niveau de la production agricole (Coton 40.000 t), les recettes internes, la gouvernance, la discipline, l’assainissement de la ville, la réduction systématique de pénuries d’eaux et d’électricité (en 6 mois), la réduction des dépenses de l’État, la confiance des institutions financières internationales, la réduction du chômage, l’exécution des programmes de développement urbain (PDU) et pour les collectivités villageoises (PAVC) et le développement de l’enseignement professionnel en témoignent. A cela s’ajoute la formation des cadres de la haute hiérarchie de l’administration (Ministres) sur le montage des dossiers et la tenue des conseils interministériels… ».
Il est évident que, si la terre guinéenne pouvait parler, elle aurait certainement exprimé son regret d’avoir servi de support terrestre à l’existence de Damaro Camara et Kassory Fofana. Être de la même génération que ces deux personnes est une sorte de malédiction divine.
Que le bon Dieu protège le peuple martyr de Guinée du danger mortel que représente le déshonorable et terrible Damaro Camara et Kassory Fofana, un autre jaloux des compétents et usurpateurs de titre de docteur dont la seule compétence prouvée réside dans le pillage des deniers publics pour le grand malheur des Guinéens.
Cellule de réaction rapide de l’UFR France prête à rendre coup pour coup.